Strange-Evil
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 Je ne suis pas un Roi !

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Salem
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Salem


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MessageSujet: Je ne suis pas un Roi !   Je ne suis pas un Roi ! Icon_minitimeLun 30 Aoû - 7:25

- Nom : Il est inutile de me chercher un nom. Un patronime n'est utile que si l'on souhaite être rattacher aux faits et gestes de ses géniteurs.
- Prénom : Je me nomme Salem. C'est ainsi que je répondrais à vos appel.
- Age : 26ans, selon votre calendrier "humain"

- Organisation : Ma force rejoins les rangs de Blood Golem.
- Race : Hybride.
- Rang souhaité : ( De 1 à 10 ) Pourquoi pas 6
- Métier : (facultatif) Je me bats pour vivre, ou bien est-ce que je vis pour me battre ?
Quoi qu'il en soit je suis également capable de bricoler certaines choses, qui possèdent des roues et un moteur. C'est pas si compliqué la mécanique vous savez.

~~~~~

- Description Physique : ( 12 lignes minimum)
J’étais un homme comme les autres avant que « l’incident » ne survienne. J’avais alors 16ans. J’étais jeune et en bonne santé. Je n’étais pas l’un de ces adolescents maniaques de la musculation et de la gonflette. J’avais développé ma musculature grâce aux diverses taches que j’accomplissais dans l’Atelier dans lequel je travaillais à l’époque. Je mesurais à l’époque 1m83. Mon visage était fin et encadré par une chevelure dense et capricieuse que j’avais toute les peines du monde à coiffer. Mes yeux étaient d’un bleu aussi profond que celui d’une mer calme.
Puis survint « l’incident » et la mutation dont j’héritais. Mon corps commença à changer, lentement mais surement je me sentais évolué. Ma pilosité se développa jusqu’à recouvrir mon corps d’un pelage fauve tacheté par endroit de petits cercles noirs. Sur le torse mon pelage s’éclaircit pour devenir presque blanc. Mais ce n’est pas la seule chose qui changea. Ma musculature se développa d’une façon plutôt inattendue, me dotant de membres puissants aux muscles saillants. Mes mains devinrent également plus grosses et pourvu de griffes, à la façon d’un léopard. Et il en est de même pour mes pieds. Je ne vous explique même pas comment c’est devenu difficile de trouver des chaussures maintenant. Mes cheveux se muèrent en une sorte de crinière qui est à présent retenu par une lanière de cuir. Enfin mon visage se mua en gueule pour compléter la mutation. Ma bouche devint une gueule remplie de crocs et mon nez devint une truffe. Dans un rugissement la métamorphose pris fin. J’étais devenu un homme-fauve, Salem.


- Description Psychologique : ( 12 lignes minimum)
Lorsque l’on perd l’apparence d’un homme pour prendre celle d’un « homme bête » comme certains le disent si poétiquement, on change également. Le regard que les gens portent sur vous change et vous aussi. En fait c’est plutôt parce que vous avez changé que les Autres ne vous voient plus comme avant. Ils vous jalousent car vous êtes devenu capable de faire ce que jamais eux ne seront capable de faire. Vous pouvez réaliser les fantasmes des uns, les pensées les plus inavouables des autres. D’autres vous admirent et vous idolâtrent. Je n’ai pas encore compris pourquoi, mais ce n’est pas désagréable comme sensation. Cela n’apporte bien souvent que des problèmes, mais il y a tout de même quelques compensassions Huhuhu ! Mais d’autres ne vous voient que comme des bêtes, sanguinaire, répugnante et inhumaine. Ceux là me font bien rire. A peine dévoile-t-on nos belles dents qu’ils prennent leurs jambes à leur cou pour s’enfermer chez eux. Quant à ceux, plus téméraire qui prennent les armes contre nous… Et bien… Huhuhu ! Avec un bon vin ils sont délicieux.

Je suis quelqu’un de plutôt méthodique. Et pointilleux sur les bords. Pour que les choses fonctionnent bien et qu’elles soient opérationnelles il faut que tout soit bien fait. C’est pourtant pas compliqué de vérifier sept fois sont matériel avant de partir en mission ! Nom de Nom ! Bon d’accord je vous accorde que c’est un peu plus longtemps que les stupides bourrins que démarrent au quart de tour pour aller distribuer des mandales au premier type qui leur marche sur le pied. La bonne méthode c’est de sortir son arme et de lui dérober sa bourse en compensation aux lieux de lui coller une tartine avec votre énorme paluche ou de le rôtir sur place. En plus si vous le transformer en tas de cendres on ne peut plus le manger. Et quand même, de l’humain c’est bon. Hein ? Je ne vous l’avais pas encore dit ? Quand votre génome se retrouve modifié par un « incident » vos gouts changent également. Par exemple : j’ai jamais aimé la salade et les carottes. Du temps où j’étais jeune chez mes parents, je me débrouillais pour donner les légumes au chien. D’ailleurs je ne crois pas que lui aimé. Bon par contre quand je vois un chien maintenant, je ne sais pas si c’est mon côté gros chat qui ne lui revient pas, mais il veut toujours me bouffer. C’est pénible de devoir massacrer les pauvres petites bestioles. Mais en même temps, quand on vient me mordiller le mollet, moi je ne cherche pas, je tape. Un peu comme avec les moustiques. Quand il y en a un qui bourdonne à vos oreilles le soir, alors que vous essayez de vous endormir, vous le claquer entre vos coussinet la sale bestiole vampirique. Ben c’est pareil pour tout. Je disais quoi au départ ? Ce n’est pas important.

D’ailleurs ne croyez pas que je suis tête en l’air. J’ai tendance à être bavard, c’est vrai. Je ne dis pas que des choses intelligentes ce qui me fait parfois passer pour un gars stupide. Mais je ne le suis pas. D’ailleurs vous voulez vérifier ? Allez-y, poser moi des questions de mathématiques ou de physique, ou même de mécanique. Ha oui la mécanique ça c’est bien. On peut bien faire plein de chose quand on comment faire ronronner un moteur. D’ailleurs, ronronner c’est bien. D’ailleurs, si vous me gratouillez derrières les oreilles. Ho oui ! Ho oui ! Hey ! Mais non ! Mais faut pas le faire. C’est dans l’intimité ça.

J’ai aussi tendance à ne pas aimer les gens qui méprisent les autres. Nous ne sommes pas tous égaux mais s’il y a une chose qui nous rapproche les uns des autres c’est le respect. Moi je peux distribuer des baffes alors je m’en fiche, mais c’est de tout de même lassant de devoir répété à chaque fois que vous êtes quelqu’un de cultivé et non une sale bestioles mutantes et répugnante qui mangent les enfants pas sages. Je ne mange que les enfants sages. Les autres trainent trop souvent n’importe ou. La qualité de la nourriture c’est quelque chose de très important. On ne peut être en bonne santé que si on a une bonne hygiène alimentaire. Une bonne hygiène tout court aussi d’ailleurs. Mais au contraire, lorsque l’on se montre digne et respectueux je peux me montrer parmi les plus galants et les mieux élevés. Ce n’est pas parce que j’ai des grosses pattes griffues et avec des coussinets tous moelleux que je ne sais plus me servir d’une fourchette et d’un couteau.

D’ailleurs, l’un de mes petits défauts, parce qu’avouons le, je suis quand même pleins de qualités, je suis un grand gourmant. On ne plaisante pas avec la nourriture. Et on ne joue pas avec la nourriture d’ailleurs. Après elle perd toute sa tendresse Huhuhu ! Et quoi de mieux qu’un bon vin pour aller avec un bon repas. Vous en conviendrez. Finalement le bonheur c’est pas si dur à atteindre.

Je ne suis pas un idéaliste. Je sais simplement que des nous sommes en des temps troublés. Je vois des carnages et des massacres trop souvent. Et bien souvent j’y prends par Huhuhu ! Alors lorsque je peux m’éloigner du ronflement de mes moteurs ou des cris des combats et des derniers souffles des mourants avant qu’une balle ne vienne mettre un terme à leur incessante mélopée de suppliques, j’en profite. Un peu de calme et un livre érotique Huhuhu ! D’ailleurs non, le bruit des moteurs et les cliquetis mécaniques ne me dérangent pas. C’est plutôt lorsqu’ils sont absents que l’ambiance est étrangement moins familière. D’ailleurs qu’est-ce que la famille ? J’ai trop perdu en me rattachant à des personnes qui n’ont finalement pas su tenir leur place. À présent il n’y a que mes « frères » Golem en qui je peux avoir confiance. Quelque part nous sommes tous semblables. Nous savons tous ce dont nous sommes capables, nous connaissons tous les vilains secrets des autres, nous ne laisserons jamais un « frère » à terre. Je suis un ami solide et fidèle. Tout comme je peux être fidèle en amour. Malheureusement je suis plutôt comme les marins. Je bouge beaucoup trop pour n’avoir qu’une seule femme Huhuhu. Et puis qui veut coucher avec l’homme-lion de toute façon ?


- Pouvoir et Description du pouvoir : ( 10 lignes minimum)

- Histoire : ( 30 lignes minimum )

~~~~~

Code : (à trouver dans le règlement) OK!!
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Dernière édition par Salem le Jeu 16 Sep - 21:04, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Je ne suis pas un Roi !   Je ne suis pas un Roi ! Icon_minitimeJeu 9 Sep - 22:30

Histoire :

Chapitre Premier :
La journée avait été des plus chaudes. Le soleil s’était levé tôt et avait commencé son œuvre avec une ardeur qui, bien qu’habituelle pour la saison, n’avait rien d’agréable. Mais que voulez-vous, c’est ainsi que le climat a été fait et on ne peut le modifier. Quoi que … Mais ceci n’est pas l’histoire que vous voulez entendre. La chaleur qui s’était installée dans le petit village aux environs de Meifia depuis le matin ne faiblissait même pas lorsque l’Astre était parti irradié une autre face de la planète. La Lune, toute bienveillante qu’elle était ne parvenait pas à amener avec elle la fraicheur que tant de monde souhaitait voir arriver. Il n’y avait ni vent ni nuage, il n’avait pas plus depuis des semaines.
Ce n’était pourtant pas ce climat qui décourageait notre homme. Il avait passé sa journée, comme toutes les autres, à travailler à la scierie. La proximité de la Jungle permettait de fournir du bois en grande quantité et assurait ainsi la majeure partie des ressources du village. C’est donc après une journée à transformer les troncs de ceux qui formèrent la majestueuse toiture végétale de la Jungle en vulgaires planches qu’il s’en alla retrouver sa belle. Toc ! Toc ! Toc Toc ! Toc ! La porte s’ouvrit lentement sur un visage pale et souriant, encadré de cheveux blonds et fins. Doucement, il se fraya un chemin jusqu’à elle, l’a pris dans ses bras et l’embrassa tendrement. Ils ne prirent pas la peine de fermer la porte, la laissant entre ouverte. C’est en la portant dans ses bras qu’il l’a conduisit jusque dans son lit. La fenêtre de la chambre était grande ouverte dans l’espoir d’apporter un peu de fraicheur. Bientôt ils se retrouvèrent tous deux nus dans le lit, draps à terre. Bientôt leur passion allait revêtir une forme des plus basiques. Bientôt leurs corps s’entrelaceront et vibreront au même rythme. Leur respiration haletante et quelques gémissement seront les seuls sont bruits qui s’élèveront dans la nuit. Puis tout redevint calme. Ils échangèrent un baiser, laissant leurs corps ruisselant de sueur retomber mollement sur le lit avant de s’endormir dans les bras l’un de l’autre.

Il s’écoula un certains avant qu’ils ne se rendent compte de ce qu’il se passait. Elle tenta bien de le dissimuler mais n’y parvint pas. Elle tenta de dissimuler sa tristesse sous des faux sourires et de doux baisers mais rien n’y changerais. Elle allait être mère. Elle allait voir son corps, son si joli et si fragile petit corps changer, se retrouver mutiler par cet être qui allait être son enfant. Au fond d’elle, elle le détestait déjà de tout son être alors que pour Lui qu’elle aimait, elle aimerait Son fils de tout son cœur. Les semaines et les mois passèrent et elle contemplait son ventre grossit par l’enfant qu’elle portait. Son regard était vide mais son esprit se laissait aller à divers scénarios. Peut-être qu’il y aurait un problème durant l’accouchement ? Peut-être que l’enfant ne vivrait pas. Peut-être ne serait-elle pas obligée de devenir mère ?
Ce soir là Il décida de rentrer plus tôt du travail pour lui faire une surprise. Le terme approchait à grand pas et il ne parvenait plus à dissimuler sa joie et sa fierté. Lui que l’on avait traité de bon à rien pendant autant d’année allait devenir père. Il avait épousé la femme la plus jolie qu’il eu jamais vu et allait avoir le plus merveilleux des enfants. Dans son euphorie il ne parvenait pas à discerner les doutes de sa femme.

Cette nuit là elle s’éveilla, trempée de sueur, des violentes douleurs la malmenant. Était-ce pour ce soir ? Cette nuit sans Lune serait-elle la nuit ou elle serait enfin délivrée du fardeau qu’elle avait du porter neuf mois durant ? Doucement elle réveilla son Mari et d’un sourire elle lui demanda d’aller quérir le médecin. Celui-ci s’exécuta avec empressement et revint quelques minutes plus tard en compagnie d’un homme d’une cinquantaine d’années, portant une petite mallette à la main. Ils avaient convenue que l’Enfant viendrait au monde à la maison. Pendant ce temps, elle avait taché de se mettre à l’aise mais sans y parvenir. Lorsque le médecin revint, il l’a trouva en larmes au milieu de draps taché de sang. Quelque chose n’allait pas. Elle avait beaucoup pensé mais à présent une seule occupait son esprit. Elle voulait donner un fils à son Mari ! Elle voulait devenir une bonne mère. Et c’était sans doute parce qu’elle avait tant hésité, tant désiré que tout ceci ne fut qu’un cauchemar qu’elle souffrait autant en l’instant.

La nuit passa et le travail avançait lentement. Le médecin avait fait appeler une infirmière ainsi que d’autre matériel. Lui était paniqué, et impuissant fasse à la souffrance des deux êtres qu’il aimait tant et pour qui il donnerait sa vie. Sa femme était à bout de force, livide et presque inconsciente lorsque finalement résonna dans la pièce un cri. Un cri puissant. Le Nourrisson avait emplit pour la première fois ses poumons d’air dissipant tout les doutes quant à sa santé.Le médecin avait eu peur qu’il ne soit déjà mort. Il était vivant et apparemment en plein forme. Le médecin le tandis à son Père qui le sera doucement contre son torse. Maintenant il faudrait du repos à la mère pour qu'elle récupère. Mais si elle le désirait, elle s'en remettrait.
« Tu deviendras Quelqu’Un mon Fils ! »
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Salem
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MessageSujet: Re: Je ne suis pas un Roi !   Je ne suis pas un Roi ! Icon_minitimeDim 12 Sep - 3:22

Chapitre Deuxième :
Une petite dizaines d’années c’était écoulée depuis la nuit ou le jeune garçon était né. Le temps avait effacé la douleur et la peine qui avait affligées sa mère pendant les premiers temps. La famille avait traversé des joies et des peines, comme toutes les familles. Le village s’était agrandit, de nouvelles familles avaient vu le jour alors que les plus âgés quittaient le monde des vivants. En somme la vie suivait son court pour un enfant de dix ans.

Mais cela changea ce jour ou il rentra de l’école. Les nuages qui s’étaient réunis dans le ciel au cours des derniers jours avait fini par laisser échapper leur flots de pluie qu’ils retenaient déjà depuis trop longtemps. Le sol s’était rapidement changé en une boue marron collant aux bottes et aux pantalons. Tous ceux qui le pouvaient limitaient au maximum leur déplacement, attendant que le soleil dissipe les nuages et apporte au ciel une couleur bleue bien plus agréable. Quant aux enfants, eux étaient ravit de pouvoir sauter dans les flaques d’eau et de boue, de salir leur vêtements en désobéissant sciemment aux consignes de leur parents. Après tout, ce n’étaient pas eux qui faisaient la lessive après tout.

Un jeune garçon aux cheveux en bataille courrait dans les rues boueuses, en compagnie de camarades de classes. Il leur adressa un dernier signe de la main dans un éclat de rire avant de disparaitre dans une rue perpendiculaire. Encore quelques foulées et il poussa la porte de chez lui en criant qu’il était rentré. Il déposa ses chaussures sur le paillasson afin de ne pas mettre de la boue partout et secoua sa tête afin de faire tomber les gouttes d’eau qui étaient encore accrochés à ses cheveux. Il se rendit souriant dans la cuisine pour y trouver son gouter. Au lieu de cela il trouva sa mère en pleures, livide, assise sans bouger sur une chaise. Un homme était présent également. Il portait un grand imperméable noir en n’avais pas enlevé ses chaussures. Le jeune garçon allait dire quelques choses lorsqu’il se souvint de cet homme. C’était un ami de son père, qui travaillait lui aussi à la scierie. C’était rare de voir les amis de son père dans la maison. Ils ne faisaient que parler fort et boire du vin. L’homme se tourna alors vers l’enfant et lui adressa un sourire triste. Il avait les yeux rouges comme si lui aussi avait pleuré. Tout cela ne pouvait pas être bon signe.

Il s’assit alors sur une chaise et se servit un café tout en proposant un à l’homme. Il avait bien souvent vu sa mère dans cet état. Il savait qu’elle resterait ainsi pendant de longue heure, à pleurer, puis finalement il l’a mettrait au lit après lui avoir fait avaler un peu de soupe. Il se tourna alors vers l’homme, son petit visage enfantin et rieur ayant soudainement pris un visage plus adulte. Même s’il ne parlait pas il comprenait que quelques chose de grave avait du se passer. Quelque chose qui allait changer sa vie et qui avait profondément bouleversé sa mère. Il ne pouvait y avoir qu’un seul rapport. Quelque chose était arrivée à son père.

Des larmes coulèrent le long ses joues, tombant sur la table lorsqu’il apprit que son père ne franchirait plus jamais la porte de la maison. Il serait les dents pour ne pas hurler. Il devait être fort pour sa mort. Maintenant que le roc sur lequel elle se reposait et qu’elle chérissait par-dessus tout venait de lui être enlever, elle se retrouvait dans un océan sans aucun repère. Maintenant il faudrait qu’il assume le rôle de l’Homme.

(…)

Depuis aussi longtemps qu’il se souvienne, le jeune garçon avait toujours eu une sorte de passion, voire même de fascination pour les véhicules à moteur et les machines. Il se trouvait émerveillait chaque fois qu’il avait l’occasion de plonger son nez dans un moteur, que ce soit celui d’un véhicule à deux roues comme celui des gros engins de chantiers et de déforestation. Il n’a donc pas été très difficile pour lui de trouver un poste d’apprenti mécanicien. Il faisait preuve d’une curiosité sans limite, toujours à vouloir apprendre et à savoir comment faire pour réaliser telles opérations ou telles autres. Il avait de bonnes notes à l’école et était un élève appliqué, surtout depuis la mort de son père avaient tendance à dire ses professeurs. Il avait pris un travail à mi-temps en tant qu’apprenti et s’occupaient de sa mère, qui n’était plus vraiment qu’une loque. Elle continuait à aller travailler, à se nourrir, à s’habiller comme si de rien n’était mais c’était simplement parce qu’elle voulait garder un semblant de bonne image. Pour elle s’était tellement important que c’était devenu sa raison de vivre. Le fait que son fils travaille pour subvenir à ses besoins lui faisait ni chaud ni froid. Il n’était pas son père. Ne le serait jamais. Elle se demandait encore parfois si elle ne devrait pas le mettre dehors.

Puis les choses changèrent. Le jeune garçon était devenu un adolescent. Son physique s’était développé à force de porter les lourdes pièces dans l’Atelier. Il passait d’ailleurs le plus clair de son temps là-bas. Le reste du temps il le passait dans la bibliothèque, à étudier pour son plaisir. Dès qu’il avait pu, il avait quitté ses études, préférant se consacrer à sa passion. Il avait environs 15ans lorsqu’il avait pour la première fois remonté son propre véhicule seul. Bien entendu, il avait apporté quelques modifications minimes et savait parfaitement le conduire. Il avait trouvé en la personne du Chef d’Atelier une sorte de grand frère pour veiller sur lui, bien qu’il sache s’en sortir.

C’est à peu près à la même époque que sa mère commença à retrouver un semblant de vie. Et quelle vie ! Il rentra un soir pour l’entendre « s’amuser » dans la chambre. Il se dit qu’elle avait fini par rencontrer quelqu’un et que finalement si elle pouvait retrouver un peu de bonheur ce n’était pas une mauvaise chose. Puis les jours suivant l’histoire se répétait, à tel point qu’il finit par ne plus vouloir rentrer chez lui pour entendre sa mère glousser et gémir dans le bras d’un homme. Il n’avait encore jamais vu de qui il s’agissait. Il s’en moquait d’ailleurs. Ce n’était pas cela qui allait ramener sa mère à avoir de douces attentions pour son fils. Puis un jour, alors qu’il était en pause déjeuné à l’Atelier il entendit un groupes de jeunes dans la rue. Il les connaissait, c’était des genres de loubards qui venaient souvent pour essayer d’avoir des pièces gratuites. Les membres de l’Atelier avaient toujours refusé, et avait même parfois du se montrer persuasif. Il s’avança vers le groupe doucement, sentant les regards et les rires qui lui étaient destiné. Sans réellement savoir pourquoi il avait saisi une clé à molette dans sa main. Il se sentait envahi d’un étrange sentiment de fureur. Ils venaient de dire qu’ils avaient couché avec sa mère, et seulement pour faire plaisir à la vieille. Que c’était comme d’aller voir une pute, mais en gratuit. Et que le rejeton de trainé ferait bien mieux de… On ne su jamais ce qu’il allait dire. Un coup de clé à molette venait de lui briser la mâchoire pendant qu’un violent coup de point dans le torse le jetait à bas de la moto. D’un coup de pied le jeune mécanicien poussa la moto sur la jambe de l’homme à terre, lui brisant le pied au passage. Tout ce qui suivit reste assez flou dans l’esprit du jeune homme. Il se souvient avoir brisé quelques membres, il se souvient aussi s’être fait blesser. Il ne sait pas combien de temps ce petit combat aura duré. Tout ce qu’il sait c’est qu’il fut stoppé avant qu’il n’aille trop loin, que sa vision se troubla de larme et qu’il se réveilla allongé sur son lit à l’Atelier.

Quelques jours après il rentra chez lui avec la ferme intention de parler à sa mère. Il l’a trouva seule, heureusement. Elle était étendue, nue, sur le canapé, fumant une cigarette. Un large sourire se dessina sur son visage lorsqu’elle vit son fils rentré à la maison. Il portait encore les traces de la bagarre, ses vêtements déchirés et les contusions sur son corps le prouvaient. Elle se redressa et s’avança lascivement vers son fils. Elle avait plus d’une trentaine d’année et son corps était toujours aussi beau. Elle s’avança et serra son fils contre elle, plaqua sa poitrine contre lui. Il sentit un étrange sentiment, mêlé de dégout et de désir s’emparer de lui. Sa mère lui murmurait des mots tels qu’elle ne devrait pas à ses oreilles tout en promenant ses mains sur son corps. Le jeune aurait voulu hurler, aurait voulu fuir, mais son corps refusait de lui obéir. Lorsque finalement il ouvrit la bouche alors qu’il venait de sentir la main de sa génitrice dans son caleçon, elle l’embrassa et l’entraina avec sur le canapé, l’allongeant et s’assaillant sur lui. Ses mains se baladèrent un moment sur son torse pendant que son bassin dansait sur le bas ventre de l’homme qui n’avait à présent plus que l’envie de vomir.
L’expression sur le visage de sa mère s’était lentement mué un une haine visible, palpable. Dans ses yeux on pouvait à présent sentir son désir de voir l’homme qui se tenait sous elle mort. Ses mains s’étaient resserrées sur sa gorge et à présent elle riait aux éclats en étranglant Son fils, celui qu’elle n’avait jamais désirait que pour Lui faire ce plaisir. Il finit par renverser l’étreinte et parti sans se retourner, vomissant dans le hall d’entré et laissant à cette folle le soin de se faire sauter par qui lui semblerait. Il pu entendre une dernière fois la voix de sa mère : « Pars sans revenir ! Cette maison n’est plus tienne ! »

Quelques jours il apprit qu’elle avait finit par se noyer en s’endormant dans son bain.
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MessageSujet: Re: Je ne suis pas un Roi !   Je ne suis pas un Roi ! Icon_minitimeJeu 16 Sep - 21:03

Je ne m’étais pas présenté aux funérailles de ma mère. Elle avait été inhumée aux côtés de mon père. Il n’y avait personne pour la pleurer. Une coquille vide qui avait cherché par tous les moyens à se remplir depuis la disparition de son âme sœur n’avait pas grand monde pour la regretter. Au moins elle avait retrouvé mon Père. Je ne sais s’il y a une vie, ou quoi que ce soit d’autre une fois que l’on meurt. Je suis maintenant, officiellement, orphelin.

Mais ce n’était pas la seule chose qui allait changer dans ma vie. Il s’écoula moins d’une semaine après mon seizième anniversaire lorsque l’incident survint. 16ans, pour certains qui sont chouchouté c’est à ce moment là qu’ils se disent que les parents, ça craints, mais que comme ils donnent des sous c’est bien. Pour moi, cela ne signifiait plus rien. Je faisais mon boulot dans l’Atelier, à réparer et améliorer les différents véhicules que l’on me confiait, et occupais mon temps libre à lire ou bricoler sur ma jeep modifiée. J’avais définitivement arrêté d’aller à l’école. De toute façon dans un monde comme le notre, ma formation d’apprenti me suffisait pour trouver un métier. Qui se fichait d’un bout de papier, si ce ne sont quelques bureaucrates rabougris à lunettes.

« L’incident ». C’est comme ça que l’on appelle maintenant ce qui fut l’un des plus grands bouleversements que notre monde n’est connu. Il devait mettre un terme à une guerre qui durait depuis bien trop longtemps. Ma vie changea du tout au tout. D’aucun purent reconstruire ce qu’ils possédaient déjà, d’autres encore purent recommencer à zéro dans un autre monde. Certains comme moi héritèrent d’une hybridation… Il ne m’appartient pas de juger si c’est une bonne ou une mauvaise chose. Je vis avec, tout simplement, profitant de chaque moment de plaisir, quel qu’il soit.

Il ne fallut pas longtemps après « L’Incident » pour que les effets de ce dernier ne se fassent ressentir. Tout d’abord je me suis sentit extrêmement fatigué et fiévreux, comme si j’avais attrapé une grippe. Mais lorsque la douleur se manifesta, dans tout mon corps, je sus que quelque chose n’allait pas. Je ne pouvais aller voir le médecin pour lui dire, il était trop tard. Mon corps avait déjà commencé à se modifier et je commençais à perdre une apparence d’humain. Je ne savais comment réagir. Pour la première fois de ma vie, je fus terrifié. Je n’avais nul par ou aller, et rester enfermé dans mes quartiers n’était pas la solution. Une nuit sans lune, alors que la douleur me tenaillait et que je ne pouvais à peine marcher, je trouvais la force de quitter le village pour partir me réfugier dans la Jungle alentours. Je ne sais toujours pas comment j’ai réussit à me trainer jusqu'à une grotte. Sans doute habité par des félins ou autre chose, à l’odeur. Je savais que c’était dangereux, mais tout de même moins que de se faire chasser du village à grand renfort de fusil et autres armes que les habitants pourrait avoir sous la main. L’histoire de ma famille était connue de tous et personnes ne se soucieraient de ce que je devenais si je quittais brusquement le village.

Il fallut encore une semaine au processus pour se terminer. J’oscillais entre une transe douloureuse durant laquelle je pouvais constater les changements sur mon corps, les diverses pensées qui défilaient dans mon esprit, et partir à la recherche de nourriture. Le reste du temps je tombais de fatigue et d’épuisement. Finalement, j’ouvris les yeux un matin, réveillé par la douce chaleur des rayons de soleils perçant au travers du feuillage des arbres. La douleur avait disparue et je me sentais étrangement calme et reposé. Je me dirigeais vers le point d’eau le plus proche et contemplais mon visage. Je l’avais vu se modifier dans un défilé d’image floue, gommant et remodelant mes traits pour prendre ceux d’un homme fauve au visage de lion et à la crinière imposante. Ainsi c’était ce que j’étais à présent.

Je ne sais pas trop pourquoi mais je mis en route, prenant le petit chemin qui menait au village. Je me sentais étrangement confiant et un sourire féroce se dessinait sur mon visage félin et poilu à mesure que mes pas s’accéléraient et me rapprochaient du village. J’évitais la scierie. Cela faisait quelques mois qu’ils subissaient les assauts des fauves ou de voleurs. Ils avaient sous doute reçut de l’équipement et des gardes pour maintenir l’ordre et les protéger. Je n’avais pas réellement envie de me frotter à eux.
J’arrivais au village en courant et en riant. Les gens me regardaient avec un visage surpris et les yeux terrifiés. Je me présentais devant l’Atelier afin de venir prendre mes maigres affaires et de partir à l’aventure, loin de ce trou. Je n’avais pas imaginé quitter le village un jour mais c’était l’occasion rêvée. Le Patron était là, ainsi que ses autres mécaniciens. Je leur adressais un grand sourire, dévoilant une dentition impeccable composées uniquement de dents acérées et prête à mordre leur chaire aux moindre fait qui me déplairait. J’ouvrais la porte de mon placard pour prendre mes vêtements. Il m’en faudrait sans doute d’autre, au vu des dégâts qu’avais subi mes vêtements actuels mais cela serait suffisant pour le moment. Puis je me dirigeais vers ma jeep, ou on m’intercepta.

« -Ce véhicule n’est pas à vendre. Je ne sais pas qui tu es mais tu ne repartiras pas d’ici dans un véhicule qui ne t’appartient pas.
-Et c’est là votre erreur. C’est sans doute la dernière fois que l’on se voit. Je n’aimerais pas que cela finisse mal. Je vous remercierais donc pour tout ce que vous m’avez appris mais il temps pour moi de quitter ce village.
-Tu … Mais … Est-ce que c’est toi…
-… Salem ! C’est ainsi que je me nomme ! »

Je sautais alors dans ma jeep pour quitter ce village en riant à gorge déployé. Hahahaha !! C’était tellement bon de quitter enfin cet endroit minable. Je me dirigeais dans la jungle avec le projet insensé de la traverser. Il aurait sans doute mieux valu prendre un engin volant mais qu’importe.

(…)

La vie dans la jungle était plutôt sympathique. J’avais développé une sorte d’instinct qui me permettait de trouver à manger. C’était principalement des petits mammifères. Parfois quelques fruits, un peu d’eau. Je prenais plus du fauve on dirait bien.

Un jour, alors que j’avais laissé ma jeep sur le sentier, ou plutôt sur la piste qui servait autre fois à la traverser pour partir chercher de l’eau, j’entendis des voix. Discrètement je m’approchais pour les entendre. C’était un groupe de six hommes et femme. Un homme encapuchonné semblait commander aux autres. Il tournant la tête vers moi et un frisson parcouru mon échine. Tout mon être me disait de partir mais mes membres étaient comme paralysé. Ils étaient pourtant tendis, raidis, je me tenais prêt à bondir. Ma respiration s’était faite plus lente à mesure que je sentais les battements de mon cœur s’accélérer pour devenir de plus en plus rapide. Ma vision se trouvait étrangement modifié. Les autres personnes semblaient se mouvoir au ralenti lorsqu’ils se jetèrent sur moi. Je bondis sur le premier et d’un coup de griffe je lui tranchais la gorge. Une gerbe de sang m’éclaboussa le visage. Je passais ma langue afin de nettoyer mes babines. Une nouvelle pulsion me saisit. Il ne s’agissait plus seulement de me défendre mais de tuer, de massacrer, de rependre le sang. Je senti une balle de revolver siffler à mes oreilles. Je me retournais dans la direction pour voir le visage souriant d’une femme à la tête de fourmis. Elle me tirait dessus mais les balles étaient trop lentes et je parvenais à me faufiler entre pour finalement lui briser le bras et lui faire sauter la tête avec son arme. Il ne restait plus que trois personnes. Ils fondirent sur moi tous en même temps. Dans un rugissement je m’élançais vers eux. Je bondis au dessus d’eux me retrouvant dans leur dos. Lorsque je retombais dans leur dos je me dirigeais vers l’homme encapuchonné pour finalement me retrouver au sol avant même d’avoir fait un pas de plus. Je tachais de me relever mais je ne le pus, mes membres étaient emprisonnés dans une gangue de terre. Un rugissement puissant sortis de ma gorge et fini par mourir dans un miaulement à mesure qu’un poids écrasait ma poitrine.

« -C’est très impressionnant que tu es développé un tel pouvoir.
-…
-Ho oui, tu ne peux parler. Tu as tué deux de mes nouvelles recrues et tu as voulu t’attaquer à moi. On dirait bien que tu fais beaucoup d’erreurs. Mais es-tu prêt à apprendre ?
-O… O… »

Je suppose encore aujourd’hui que ma réponse du lui convenir. Lorsque je rouvris les yeux je me trouvais dans une chambre luxueuse, dans ce qui semblait être un manoir. Une douce lumière inondait la pièce, se répandant depuis une large fenêtre sur le parquet de bois. Lorsque j’ouvris les yeux j’entendis un tintement et la personne encapuchonnée se présenta à moi. Mais cette fois-ci sa voix était étrangement différente, plus douce, plus féminine aussi. Elle s’assit au pied de mon lit puis pris la parole.

« Bienvenue. Tu es ici chez toi.
-Où suis-je ?
-Cela n’a aucune importance. Nous avons des moyens de nous déplacer, de vous déplacer.
-Ma Jeep ?
-Pourquoi es-tu si attaché à elle ?
-C’est moi qui l’ai remontée. Je connais chaque centimètre de cette voiture.
-Tu connais la mécanique ?
-C’est mon métier.
-Pff.. C’était. Laisse moi être claire. Nous ne recueillons pas les hybrides pour le plaisir. Tu as fait montre de ressources que nous recherchons. Nous te laissons le choix. Rejoins les rangs des guerriers ou bien la nuit que tu passeras dans ce lit sera ta dernière nuit. Est-ce que tu comprends ?
-Je ne sais que répondre. Je n’ai plus de chez moi. Je n’ai personne vers qui retourner.
-Deviens l’un de nos Blood Golem et tu vivras encore un peu. Tes frères te guideront. »

(…)

Le temps s’étira alors. J’avais passé plusieurs jours au Manoir, afin de recouvrer des forces. Apparemment je disposais d’une sorte de « capacité » qui m’épuisait énormément lorsque j’y avais recours. Les différentes personnes qui « m’étudièrent » finirent par m’expliquer cela. La vision humaine est limitée. La vision même des gens possédant d’autres capacités est limitée, ainsi, lorsque l’on parvint à atteindre une vitesse suffisante on peut disparaitre du champ de vision. C’est comme lorsqu’une corde vibre, on ne voit pas chacun de ses mouvements mais la globalité. Il semblerait que mon organisme est développé la capacité de tendre mes muscles de telle sorte que lorsque je les relâche pour faire un mouvement je peux atteindre une telle vitesse. Le seul souci étant que pour atteindre cette vitesse mes muscles doivent subir une tension intense. Pour les alimentés en sang mon cœur est obligé de battre beaucoup plus rapidement que la normale. Cela fait deux inconvénients : le premier, mes muscles subissent des dommages à chaque fois que j’ai recours à cette solution. La seconde est aussi une limitation physique. Mon cœur atteint un rythme de battement tellement rapide qu’il ne peut le supporter que quelques secondes. Ainsi il faut mieux que je m’en serve plutôt pour fuir que pour me lancer à l’assaut. Si je maintiens une telle tension dans mon corps pendant trop longtemps, mon corps lâche et les dégâts subits par mes muscles mettront longtemps avant de guérir. Bref, à utiliser avec précaution.

Durant ce laps de temps j’appris également à piloter d’autre engin ainsi que le maniement des armes à feu. Je pu également apprendre à certains des autres Golem comment réparé les petits dégâts sur les véhicules léger dont ils disposaient. Nous combattions, nous nous entrainions, nous mangions et vivions ensemble. Un jour, nous reçûmes un ordre de mission. Un petit village devait être discipliné et placé sous une quelconque autorité. Notre travail concernait à supprimé toutes résistances. Nous embarquâmes alors dans un véhicule de transport aérien avec armes et munitions.
Nous nous posâmes en plein centre du village. Le pilote nous sourit et nous nous regardâmes. Nous étions une escouade de douze Golems. La porte coulissa dans un grincement. La lumière du soleil ne nous éblouis pas. Chacun y allant de son cri ou de son rugissement nous fondîmes chacun dans une direction différentes, semant mort et destructions sur notre passage. Bientôt je me retrouvais à avoir vidé mon premier chargeur. Un rire qui se mua en rugissement sorti de ma gorge et je finis ma macabre besogne de mes mains.
Chose assez chouette j’avais trouvé l’école. Je me dirigeais d’un pas décidé vers la porte lorsqu’une jeune femme en sorti et me barra le passage de son corps. Un sourire se dessina sur mon visage. Elle semblait plutôt mignonne. Je plaquais alors ma main sur sa gorge pour la plaquer contre le mur. De mon autre main je commençais à lui ôter ses vêtements. Ses pleures et ses injures n’y changèrent rien. Lorsqu’enfin elle se retrouva nue je laissais tombé au sol, effondrée et brisée pour rentrer dans la classe. D’autres se feraient une joie de s’occuper d’elle. Les enfants s’étaient rassemblés dans un coin de la salle, tremblant de peur. Un s’avança vers moi et me demanda si j’allais les manger. Héhéhé ! Il a du flaire le petit Norbert ! Je lui demande de quitter la salle et de rentrer chez lui avant de m’attaquer à mon festin. Am… Stram… Gram…

Puis j’entendis ma radio grésillé puis une voix sourde beugler une consigne. Je laissais alors là les corps mutilé des enfants au milieu d’une marre de sang. Mes bottes laissèrent des empreintes rouges me suivant pendant un certains moment puis le sable les atténua jusqu’à les effacer complètement. En repassant dans le village je vie un atelier de mécanique qui me rappela des souvenirs. Je crachais au sol, enterrant mon passé dans ce trou à rat qui n’était plus qu’un village à demi-vivant, comme le fut ma mère. Puis nous rentrâmes, chacun ayant assouvit ses pulsions, et ayant une fois de plus prouvé que les Golems sont des êtres que l’on doit craindre.
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Salem
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MessageSujet: Re: Je ne suis pas un Roi !   Je ne suis pas un Roi ! Icon_minitimeJeu 16 Sep - 21:04

Je UP Smile
Ma fiche est terminée.
Pour le rang, à vous de juger Wink.
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Eden Tyrfing
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MessageSujet: Re: Je ne suis pas un Roi !   Je ne suis pas un Roi ! Icon_minitimeJeu 16 Sep - 23:36

J'adore ♥

On sera bientôt réunis, mon chaton ♥
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MessageSujet: Re: Je ne suis pas un Roi !   Je ne suis pas un Roi ! Icon_minitimeJeu 16 Sep - 23:38

Je n'attends que ça Smile
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MessageSujet: Re: Je ne suis pas un Roi !   Je ne suis pas un Roi ! Icon_minitimeSam 18 Sep - 23:22

Par chance (lol) Sokar n'est pas là !
Je valide rang 6 !
Bon rp ! Smile
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Salem
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MessageSujet: Re: Je ne suis pas un Roi !   Je ne suis pas un Roi ! Icon_minitimeDim 19 Sep - 1:07

6 ? Je peux pas avoir un peu plus xD
J'avais dis ça au départ, mais j'ai eu un peu plus d'inspi pour la fiche. M'enfin. Merci pour la validation
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Kayl
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MessageSujet: Re: Je ne suis pas un Roi !   Je ne suis pas un Roi ! Icon_minitimeDim 19 Sep - 3:27

Je peu aussi te mettre 5 bounce
Tu es actifs, tu participes un peu partout...
Tu prendras vite des rangs avec le RP je pense Wink
Je LocK.
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