Black Jack, L'as de Pique. [En cours]

Étrange. Voici le premier mot que l'on dirait du ninja. Hétéroclite, atypique, tout simplement, différent. C'est déjà d'une chose qui intrigue, qui ne met pas en confiance, c'est un air, une moue, des mimiques, et surtout, cette aura, ce ressenti à son approche. Niveau fasciés, ses cette mine jovial, mais qui ne correspond pas à l'instant, et même lorsqu'un sourire fend son visage au bon moment, il en devient que plus angoissant, et surtout, dérangeant. Oui, c'est surtout cette sensation qui domine, comme un vent qui emporte les autres détritus, les autres défauts. Il le sait, il en joue, fortement. L'image, l'information, étant la toute puissance. Parfois, un air nostalgique emporte au loin les préjugés que l'on peut avoir sur lui, très rares sont les moments ou il rends les armes, baisse son armure. Cela se vois souvent au masque autoritaire qui se peint sur son visage lors de ses phases passagères. Parlons de ce qu'il dégage, une dernière fois. Lorsqu'il approche, c'est comme si un instinct particulier avertissait tout ceux près de lui, qu'un danger imminent approche, ceux qui ont développer ce genre de sens le sentent beaucoup plus, ce frisson, qui vous indique que le couperet n'est plus loin, que ce qu'il arrive, est inébranlable, puissant, et sans aucune pitié. Puis, on le voit, son jolie sourire, lorsqu'il vient soutirer des informations, lorsqu'il met en œuvre tout les moyens possible pour faire parler... Et même cette démarche presque enfantine en devient diabolique. Hypnotisante, cette grâce avec laquelle il marche, comme si sous ses pieds, des œufs avaient pris place du sol, et que le jeune homme y tenait plus qu'a un être humaine. Sans être féline, elle un côté qui rappel le chat, qui taquin, vient joué avec sa proie, la souris. A cela oui, lorsqu'on regarde Black la première fois, on ne lui trouve décidément pas un air humain. Il y a un détachement des évènements qui l'entoure, poussant à cette conclusion.
Revenons à quelque chose de plus terre à terre.
Mesurant environ un mètre quatre vingt, on ne peut dire de lui qu'il est petit, malgré que ce ne soit pas un géant, c'est pour lui la taille idéale, afin de passer partout, sans briller aux yeux de quiconque. Sa carrure est plutôt faible, mais cela ne l'empêche pas d'être un redoutable ninja, car ce n'est pas la force qui fait tout. Soyons honnête, paradoxalement, il est très rapide, mais plus naturellement, agile. Il a une façon de bondir sur sa proie, un couteau papillon à la main, visant des points qui ne sont pas mortels mais usants celui qui lui fait face. Voilà pour son gabarit, qui n'est sommes toute, pas trop mal. Le teint de sa peau est assez pâle, sans être maladif, et quelques cicatrices son présentes sur ses bras ainsi que son torse, souvenir d'une guerre lointaine, d'une vie passée à combattre. Un tatouage est présent sur ce torse imberbe, comme tout le reste de son corps, représentant un serpent qui se mort la queue, Ouroboros, destin des hommes et des civilisations.
Passons maintenant au visage, et ce qui l'encadre. La chose qui se remarque le plus, outre l'habillement. Une chevelure mi longue, d'un vert émeraude éclatant, attire l'attention, bien qu'ensuite, on soit dessus par l'ordinaire de l'homme qui possède pareille teinte capillaire. En dessous donc, se trouve un visage ovale, assez fin, d'une épaisseur modeste, pourvu de deux pommettes assez basses, qui ne se remarquent pas. Un menton assez pointu, donne un air agressif a son fasciés. Au dessus, une bouche fine, des lèvres très (trop) transparentes, puis en remontant, un nez fin, droit, qui ne se remarque que de par sa fonction. Ses yeux sont ovales, assez en amande, mais très souvent à moitié voir totalement fermés. La couleur est pour les moins anodine, puisque c'est un jaune mordoré qui a pris possession de ses iris. Au dessus de tout cela, deux fins sourcils, cachés par une touffe de cheveux, trônent. Ses oreilles, qui ne se voient pas souvent, sont un peu décollées, mais pas trop grandes, ce qui atténue l'effet de pareille anatomie.
Venons en au plus important, ou presque, l'habillement.
Je dois dire qu'il ne change pas souvent de type vestimentaire, bien qu'il lui arrive d'être plus détendu dans l'intimité, en portant des pantalons larges, des sweats, des débardeur...ect. Bien, un costume, quelque chose semblant sortir d'un autre temps, pas de la même planète, l'habille. Un chemise, très proche du corps, blanche, est boutonné jusqu'au cou, et accompagnée d'une sorte de bout de tissus, appelé « cravate », assez courte, est plutôt fine, elle s'élargit sur la longueur. Un veston droit, noir, tout comme la veste, assez longue ainsi que légèrement fendue, sur laquelle pendouille deux harnais dorée, au niveau du col. Un pantalon coupe droit, assorti, est attachée par deux ceintures reliées par deux barres métalliques sur les côtés des ceinturons. Une chaine pendouille à droite, rentrée dans sa poche. Il porte aussi d'étranges mitaines de couleur marron, très courte au niveau des doigts. Sur sa tête est visée en permanence un chapeau. Hazama porte souvent ce costume de couleur noir ainsi que blanche, beige et parfois grise.

- Description Psychologique :


Et c'est bien vrai. Qui est-il ? Qui est-il vraiment ? Découvrir des choses sur lui est aussi rare que de le voir prendre du repos, même après un rude combat. On pourra toujours dire ce que l'on veut sur lui, il est terriblement altruiste et responsable. Mais la véritable question qu'il faut se poser sur lui est la suivante... Comment fait-il pour être aussi paradoxale ? Vous ne voyez pas. Venez, approchez, découvrez la psyché psychédélique d'une folie douce, d'une vague à la foi apaisante et dévastatrice, son esprit. Tout d'abords, il apparaît comme froid est calculateur, odieux, presque abject et criminel. Encore un des nombreux masques que le jeune homme se plait à porter. Toujours sur la défensive, ou à réfléchir, son regard perçant semble lire en les âmes, comme un passionné de lecture dévore un chef d'œuvre. Complétement sadique, cela se lit dans son regard et sur son corps, qu'il aime torturé, soutirer des informations, donner du fil à retordre. Non, rien n'est jamais simple avec lui... Et pourtant. Véritablement passionné de son travail, il est toujours à la recherche d'informations, et verrouille tout accès à sa vie privée. De toute façon, cet air mystérieux lorsqu'on le questionne dissuade bien souvent de pousser les investigations plus loin. Comment expliquer, qu'il a l'air si abordable, mais à la fois si distant, que cela choque... Comme si, de par son attitude enfantine, sympathique, Black Jack émettait une sorte de mise en garde, que chacun peut décrypter d'une façon différente, mais jamais du bon côté.

En réalité, tout ceci n'est qu'une image. Bien que sur certains points, le ninja connu de tous lui ressemble, chaque action est pensée, orientée, de tel manière à nourrir les ragots, à entretenir cette image de monstre.

Hazama est un cérébral, qui reste et restera à jamais un stoïque. Un bloc de béton. Froid, il calcul tout, envisage énormément de possibilités, parfois même trop. Analysant chaque individus présent dans sa sphère d'influence, il a une tendance naturel à voir la faille, la défaillance, à s'engouffrer, sans mal, dans celle-ci. C'est comme une seconde nature, celle d'un serpent. Malgré ça, il est en réalité quelqu'un de blessé par certains événements, bien que le jeune homme eu une enfance heureuse. Nostalgique, son air pédant ne tient que de la protection. Sympathique, cultivé, ayant beaucoup de conversation, il exècre devoir faire souffrir mais est prêt à tout pour réalisé son rêve. Un monde ou enfin chacun aurait sa place, même quelqu'un comme lui... Malade. Car c'est une sorte de maladie mentale qui le ronge, un peu de dépression, quelques pincés de sociopathie, est une tendance à la violence tellement aléatoire qu'il ne sait jamais quand elle va frapper. Hazama aime son prochain, mais n'est pas capable de s'intéresser réellement à un individu, pour le moment. Il n'y a que les femmes qui ont quelques grâce à ses yeux, mais le jeune homme agit avec elle comme avec tout les autres, cet éloignement constant parsemé de rapprochement brutaux. Non, ce qui est vraiment intéressant à ses yeux... ce sont les arts. Tout les types, que ce soit peinture, sculpture, musique, il en raffole et à une collection impressionnante chez lui.
Oh et puis les sushis, c'est un pêché mignon. Uniquement frais et préparés devant lui. Et la troisième est dernière chose, les jeux de cartes. D'où son surnom.